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samedi, juin 28, 2025

RDC : Au moins 700 présumés «Kuluna» arrêtés à Kinshasa

Face à la délinquance urbaine dans la ville province de Kinshasa, le ministre de la communication et des médias, Patrick Muyaya, et son collègue, le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, Jacquemin Shabani, ont abordé la question du banditisme urbain et du déroulement de l’opération Ndobo. C’est ce qu’a appris la rédaction de Néo Africa lors d’un briefing presse annimé par ces deux ministres du gouvernement suminwa.

D’après le ministre de l’intérieur, sécurité, décentralisation et Affaires coutumières Jacquemin Shabani, la police a proposé un plan opérationnel sur toute l’étendue de la RDC en commençant par la ville pilote Kinshasa.

« nous sommes saisis sur la question du banditisme dans la ville province de Kinshasa, le commandant de la Police Nationale Congolaise (PNC) a proposé un plan opérationnel à l’échelle nationale qui a Kinshasa comme ville pilote et sera dupliqué sur tout le territoire national le but est de mettre fin à ce fléau tant décrié par la population Kinoise», a-t-il indiqué.

Sur la question de savoir si vraiment les personnes reconnues coupables seront-elles exécutés, le ministre Jacquemin Shabani a rappelé que le pouvoir judiciaire est indépendant. Il s’ agit, dit-il, de l’application des lois de la République démocratique du Congo.

Dans la même perspective, il a fait remarquer que la réunion entre les parties impliquées à cette opération consistait à évaluer les détails et identifier les faiblesses. Selon le patron de la territorial, l’opération Ndobo consiste à mettre la main sur des gangsters.

« cette réunion c’est pour évaluer les détails et identifier les faiblesses. C’est une opération qui consiste à mettre la main sur des gangsters. Elle a due commencer à Kinshasa, une commission technique est mise en place et elle travaille sur la duplication. Nous allons arrêter tous les bandits dans toutes les grandes villes de la République démocratique du pour mettre fin à ce phénomène dénommé Kuluna », précise le vice-premier ministre en charge de l’intérieur, sécurité et affaires coutumières

Christian BATUFUENI

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