Lors du procès de Constant Mutamba, l’ancienne ministre de la Justice, Rose Mutombo, a pris la parole pour clarifier plusieurs points soulevés par la défense, offrant ainsi un éclairage essentiel sur des questions clés.
Dans ses déclarations, Mutombo a affirmé que la répartition des fonds en question découle directement d’un arrêt de la Cour internationale de justice (CIJ), renforçant ainsi la légitimité de la gestion financière mise en cause. Elle a également précisé que le compte FRIVAO, objet de controverse, avait été ouvert bien avant son entrée en fonction, ce qui soulève des questions sur la responsabilité des gestionnaires précédents.
Mutombo a également tenu à établir une distinction claire entre le compte FRIVAO et l’établissement FRIVAO en tant que structure, afin d’éviter toute confusion dans l’esprit du tribunal et du public.
Enfin, en réponse aux interrogations sur la gestion des fonds, l’ancienne ministre a révélé qu’à son départ du ministère, plus de 8 millions de dollars restaient disponibles, une information qui pourrait jouer un rôle crucial dans l’issue de ce procès. Ces précisions pourraient avoir un impact significatif sur la perception de la gestion des finances publiques et sur les responsabilités associées à ce dossier.
Rédaction