Lors de sa visite historique en RDC, le Pape avait tenu des propos d’une rare fermeté, dénonçant sans détour les ingérences extérieures et le pillage des ressources africaines. « Retirez vos mains de la République Démocratique du Congo, retirez vos mains de l’Afrique ! Cessez d’étouffer l’Afrique : elle n’est pas une mine à exploiter ni une terre à dévaliser », avait-il lancé dans un discours enflammé devant des milliers de fidèles réunis à Kinshasa.
Ce message, prononcé dans un contexte de tensions persistantes dans l’est du pays, avait résonné comme un appel puissant à la souveraineté, à la justice et à la dignité des peuples africains. Des mots gravés dans la mémoire collective congolaise, perçus comme un rare geste de solidarité venue du sommet de l’Église.
Le gouvernement congolais, les autorités ecclésiastiques locales et de nombreux citoyens ont exprimé leur tristesse face à la disparition de cet homme de foi et de courage. Des messes et veillées de prière sont prévues dans plusieurs diocèses du pays pour lui rendre hommage.
Pour Kinshasa et toute la RDC, ce pape restera celui qui n’a pas eu peur de dire la vérité au monde, celui qui a porté la voix des sans-voix, et qui, jusqu’à son dernier souffle, a défendu une Afrique libre, digne et debout.
La République Démocratique du Congo est en deuil, à l’instar du monde entier, après l’annonce du décès du souverain pontife. À Kinshasa, la nouvelle a résonné avec une émotion particulière : la capitale se souvient d’un chef de l’Église catholique qui, au-delà de sa mission spirituelle, avait marqué les esprits par son engagement contre les injustices subies par l’Afrique.
Lors de sa visite historique en RDC, le Pape avait tenu des propos d’une rare fermeté, dénonçant sans détour les ingérences extérieures et le pillage des ressources africaines. « Retirez vos mains de la République Démocratique du Congo, retirez vos mains de l’Afrique ! Cessez d’étouffer l’Afrique : elle n’est pas une mine à exploiter ni une terre à dévaliser », avait-il lancé dans un discours enflammé devant des milliers de fidèles réunis à Kinshasa.
Ce message, prononcé dans un contexte de tensions persistantes dans l’est du pays, avait résonné comme un appel puissant à la souveraineté, à la justice et à la dignité des peuples africains. Des mots gravés dans la mémoire collective congolaise, perçus comme un rare geste de solidarité venue du sommet de l’Église.
Le gouvernement congolais, les autorités ecclésiastiques locales et de nombreux citoyens ont exprimé leur tristesse face à la disparition de cet homme de foi et de courage. Des messes et veillées de prière sont prévues dans plusieurs diocèses du pays pour lui rendre hommage.
Pour Kinshasa et toute la RDC, ce pape restera celui qui n’a pas eu peur de dire la vérité au monde, celui qui a porté la voix des sans-voix, et qui, jusqu’à son dernier souffle, a défendu une Afrique libre, digne et debout.