Lors du procès de Joseph Kabila ce jeudi 7 août 2025 à la cour millitaure, les avocats des parties civiles ont récemment relancé une polémique devant la haute cour militaire, portant sur l’identité de Joseph Kabila. Ce dernier aurait, selon des allégations, signé un accord en 2007 à Nairobi sous le sobriquet de « HK », qui serait l’abréviation de « Hypolite Kanambe ». Cette révélation soulève des questions sur la véritable identité de l’ancien président congolais.
En complément, les avocats ont évoqué une interview marquante de Ngoy Mukena, dans laquelle ce dernier mettait en doute la nationalité congolaise de Joseph Kabila. Cette déclaration a suscité de vives réactions et a été intégrée comme pièce à conviction dans le dossier des parties civiles.
Maitre MarieIlle a également fait une déclaration troublante, affirmant que l’ex-ministre Mukena avait été « assassiné deux mois après cette interview », ce qui ajoute une dimension encore plus dramatique à cette affaire. Les éléments de preuve présentés par les parties civiles devant la cour pourraient avoir un impact significatif sur le cours des événements.
Cette affaire soulève des interrogations profondes sur la transparence et la légitimité des dirigeants congolais, ainsi que sur les implications politiques qui en découlent. La suite des débats à la haute cour militaire sera suivie de près, alors que la vérité sur l’identité de Joseph Kabila et les circonstances entourant cette controverse continuent d’émerger.
Rédaction