Franck Diongo a réaffirmé son droit au dialogue et son engagement pour la « libération » du Congo, au lendemain d’une rencontre controversée avec les hauts cadres de l’Alliance Fleuve Congo (AFC) et du Mouvement du 23 mars (M23).
Dans une déclaration ferme sur X lundi 31 mars, l’opposant a revendiqué sa liberté de concertation avec « qui il juge nécessaire », après s’être entretenu avec Corneille Nangaa, coordonnateur de l’AFC, Bertrand Bisimwa, coordonnateur adjoint, et le général Sultani Makenga, chef d’état-major de l’Armée Révolutionnaire du Congo (ARC).
Diongo a également dénoncé la « trahison » du président Félix Tshisekedi, l’accusant d’avoir abandonné le combat pour la démocratie et l’État de droit, ainsi que l’héritage politique de son père, Étienne Tshisekedi.
Pour lui, la seule solution est « le départ de Tshisekedi et de son système ».
SMut