Le pasteur congolais Marcello Tunasi a, une fois de plus, exprimé son profond attachement à la Côte d’Ivoire lors d’un récent message empreint de reconnaissance et de sagesse. Devant un auditoire attentif, il a exhorté les peuples d’Afrique, en particulier les Congolais, à préserver la paix en période électorale, tout en rendant un vibrant hommage au peuple ivoirien.
« Quand les élections arriveront, ne détruisez pas votre pays, s’il vous plaît », a-t-il lancé en guise d’avertissement, appelant à la responsabilité collective face aux enjeux démocratiques. Mais au-delà de ce plaidoyer pour la paix, c’est une véritable déclaration d’amour à la Côte d’Ivoire que le pasteur a livrée.
Pour lui, ce pays d’Afrique de l’Ouest occupe une place particulière dans son cœur, bien au-delà de la simple sphère spirituelle : « Peut-être que les Ivoiriens ne le savent pas, mais j’aimerais leur dire qui ils sont, en Afrique et dans la francophonie », a-t-il affirmé avec émotion.
Marcello Tunasi souligne une vérité qu’il observe depuis des années : la Côte d’Ivoire est une terre d’accueil et d’élévation : « Chaque fois que Dieu veut élever un Congolais dans le monde, il passe par la Côte d’Ivoire… même dans la musique du monde, la musique chrétienne, l’œuvre de Dieu ou autre », a-t-il expliqué, insistant sur le rôle catalyseur que joue ce pays dans la destinée de nombreux talents africains.
Ce qui rend les Ivoiriens uniques, selon lui, c’est leur capacité à honorer le talent sans filtre identitaire. « Ils ne sont pas tribalistes. Ils consomment la grâce, le talent, point final. Peu importe le pays d’origine, si ce que vous faites leur fait du bien, ils le reçoivent. »
Il décrit un peuple accueillant, respectueux de l’onction et des dons, et toujours prompt à soutenir ceux qui apportent de la valeur, qu’ils soient locaux ou étrangers : « C’est pour cela que, lorsqu’on est en Côte d’Ivoire, on se sent chez soi… Dieu envoie sa grâce là où Il est célébré », a-t-il souligné, dans un ton presque prophétique.
À travers ce message, le pasteur congolais encourage les Ivoiriens à conserver cette richesse de cœur, convaincu que c’est ce qui attire continuellement la bénédiction divine sur leur nation. Il conclut en saluant les progrès constants du pays : « Moi, chaque année que je viens en Côte d’Ivoire, je constate une évolution. »
Un message puissant, entre sagesse politique, reconnaissance spirituelle et fraternité africaine.