L’acteur socio-politique, Noël Tshiani, a répliqué dimanche 24 novembre 2024 aux critiques émises par la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) et les déclarations critiques du cardinal Fridolin Ambongo concernant le débat autour de révision ou changement de la constitution. Dans sa publication sur X, Il a rappelé que les problèmes du pays, tels que le manque d’infrastructures de base et le chômage, sont le résultat de décennies de mauvaise gouvernance, et non de l’actuel régime.
D’après lui, les lacunes de la constitution actuelle constituent un frein majeur au développement du pays. Il plaide pour une réforme en profondeur, élaborée dans la transparence et avec la participation de tous les Congolais. « Toute constitution est perfectible, et la nôtre doit être revue pour corriger ses impuretés », a-t-il dit.
Par ailleurs, Tshiani a dénoncé les détournements des fonds publics, qu’il qualifie d’obstacle au progrès. Il estime cependant que seul un véritable État de droit permettra de neutraliser ces pratiques et de garantir un cadre propice à la paix et à la stabilité.
Se défendant contre les accusations de manœuvres politiciennes, Tshiani assure que sa démarche est dénuée d’agenda caché et motivée par le bien-être de la nation. « La patrie avant tout », a-t-il martelé, en appelant à l’unité pour bâtir un avenir meilleur.
Écrit par : SMut