Dans une interview accordée à Top Congo FM, Delly Sessanga a dénoncé une approche qu’il juge insuffisante face aux défis actuels du pays. « Apparemment, dans la démarche de M. Félix Tshisekedi, il suffit d’offrir à l’opposition des postes pour que tout aille mieux. Il ne se pose pas la question de ce qui n’a pas marché avec l’actuel gouvernement mis sur pied alors que nous étions déjà dans une situation de guerre », a-t-il déclaré.
Une crise qui exige une analyse approfondie
Selon le leader de l’opposition, la priorité ne devrait pas être la répartition des postes, mais plutôt une évaluation rigoureuse des causes profondes de la crise sécuritaire. Il estime que la compréhension des échecs passés est essentielle pour envisager des solutions durables. « Nous ne résoudrons pas le problème si nous n’avons pas compris ce qui n’a pas marché », a-t-il affirmé.
Delly Sessanga va plus loin en suggérant que l’analyse des raisons de cette situation pourrait mener à la remise en question du leadership actuel. « Nous sommes en réalité en face d’un fait qui nécessite beaucoup d’intelligence, et dont la réponse n’est certainement pas la mise en place d’un gouvernement élargi à l’opposition. Une analyse profonde des raisons de l’échec conduirait plutôt au départ de M. Félix Tshisekedi », a-t-il conclu.
Un contexte politique tendu
Cette prise de position intervient alors que la RDC fait face à une recrudescence des violences dans l’Est du pays, où des groupes armés continuent de semer le chaos malgré les efforts des autorités. Le président Félix Tshisekedi, qui a entamé son second mandat en janvier dernier, cherche à élargir sa majorité en associant certaines figures de l’opposition à son gouvernement.
Toutefois, cette proposition divise. Si certains acteurs politiques y voient une opportunité de collaboration en vue d’unir les forces pour relever les défis nationaux, d’autres, à l’instar de Delly Sessanga, estiment que cette approche ne constitue pas une solution crédible aux problèmes de fond du pays.
L’opposant congolais Delly Sessanga a fermement rejeté la proposition du président Félix Tshisekedi visant à former un gouvernement d’union nationale incluant des membres de l’opposition. Le président du parti Sursaut National estime que cette initiative ne répond pas aux véritables enjeux de la crise sécuritaire qui frappe la République démocratique du Congo (RDC).
Dans une interview accordée à Top Congo FM, Delly Sessanga a dénoncé une approche qu’il juge insuffisante face aux défis actuels du pays. « Apparemment, dans la démarche de M. Félix Tshisekedi, il suffit d’offrir à l’opposition des postes pour que tout aille mieux. Il ne se pose pas la question de ce qui n’a pas marché avec l’actuel gouvernement mis sur pied alors que nous étions déjà dans une situation de guerre », a-t-il déclaré.
Une crise qui exige une analyse approfondie
Selon le leader de l’opposition, la priorité ne devrait pas être la répartition des postes, mais plutôt une évaluation rigoureuse des causes profondes de la crise sécuritaire. Il estime que la compréhension des échecs passés est essentielle pour envisager des solutions durables. « Nous ne résoudrons pas le problème si nous n’avons pas compris ce qui n’a pas marché », a-t-il affirmé.
Delly Sessanga va plus loin en suggérant que l’analyse des raisons de cette situation pourrait mener à la remise en question du leadership actuel. « Nous sommes en réalité en face d’un fait qui nécessite beaucoup d’intelligence, et dont la réponse n’est certainement pas la mise en place d’un gouvernement élargi à l’opposition. Une analyse profonde des raisons de l’échec conduirait plutôt au départ de M. Félix Tshisekedi », a-t-il conclu.
Un contexte politique tendu
Cette prise de position intervient alors que la RDC fait face à une recrudescence des violences dans l’Est du pays, où des groupes armés continuent de semer le chaos malgré les efforts des autorités. Le président Félix Tshisekedi, qui a entamé son second mandat en janvier dernier, cherche à élargir sa majorité en associant certaines figures de l’opposition à son gouvernement.
Toutefois, cette proposition divise. Si certains acteurs politiques y voient une opportunité de collaboration en vue d’unir les forces pour relever les défis nationaux, d’autres, à l’instar de Delly Sessanga, estiment que cette approche ne constitue pas une solution crédible aux problèmes de fond du pays.